Cathy a reçu des informations erronées de son employeur sur la manière de déposer une demande d’indemnisation et, dans un premier temps, a limité de manière inappropriée l’aide apportée par la commission des accidents du travail.
Transcription
I sent an email to my supervisor and said “I think I – I’ve never done this in my life but I think I need to apply for WCB.” And the words were, “ No. No. No. You don’t have to do that. I’ll look after it.” And this kind of went on for a few more days and I thought, “I think I’m supposed to report this again.” I was told, “No. No. You don’t have to.” So I called WCB and they said, “Absolutely you have to report this.” So that was a little distressing. And the first case manager I had said something about, “Yep, OK, yep, you’ll be paid for two weeks off work and you’ll be back to work.” And, I mean, I was really sick. And I just said to her, like, “I can’t go back to work. Like, I am really ill. I can’t function.” And there was a silence on the line and she said, “Oh, I’m going to refer you to someone else who looks after more long-term WCB claims.” And then I got on with the long-term one and here I am.
[J’ai envoyé un courriel à mon superviseur pour lui dire : « Je pense que je… je n’ai jamais fait cela de ma vie, mais je pense que je dois faire une demande d’indemnisation à la commission des accidents du travail. » Il m’a répondu : « Non, non, non. Tu n’as pas à faire ça. Je m’en occupe. » Cela a duré encore quelques jours et je me suis dit : « Je crois que je suis censée le signaler à nouveau. » On m’a déclaré : « Non, non. Tu n’as pas à le faire. » J’ai donc appelé la commission des accidents du travail qui m’a dit : « Vous devez absolument le signaler. » C’était donc un peu angoissant. La première gestionnaire de cas m’a déclaré quelque chose du genre : « Oui, d’accord, vous serez payée pour deux semaines d’arrêt de travail et vous reprendrez le travail. » J’étais vraiment malade. Je lui ai dit : « Je ne peux pas retourner au travail. Je suis vraiment malade. Je ne peux pas fonctionner. » Il y a eu un silence au bout du fil et elle m’a dit : « Oh, je vais vous diriger vers quelqu’un d’autre qui s’occupe des demandes d’indemnisation à plus long terme. » Je me suis occupée de la demande à long terme et me voilà.] Traduction de l’original anglais.
Plus de: Cathy 2 FR
Plus de contenu
- Soutien des employeurs, des collègues et des commissions des accidents du travail – CathyLe patron de Cathy était en colère parce qu’elle n’arrivait pas à faire face à son travail à temps plein.
- Soutien des employeurs, des collègues et des commissions des accidents du travail – CathyCathy a reçu des informations erronées de son employeur sur la manière de déposer une demande d’indemnisation et, dans un premier temps, a limité de manière inappropriée l’aide apportée par la commission des accidents du travail.
- Dépenses supplémentaires et soins à la charge du patient – CathyCathy dit qu’elle paie de sa poche ce que la COVID longue lui a fait subir.
- Impacts sur les amitiés – CathyCathy remarque qu’au bout d’un certain temps, les gens vous oublient.
- Impacts psychosociaux de la COVID longue – CathyCathy dit être devenue ermite.
- Impacts sur la personne et la vie quotidienne – CathyCathy a l’impression d’avoir dû modérer sa personnalité.
- Impacts sur la personne et la vie quotidienne – CathyCathy doit planifier ses conversations, car parler lui cause des douleurs et de l’essoufflement.
- Obtenir des soins pour la COVID longue – CathyCathy subissait des pressions pour reprendre le travail à temps plein. Une clinique pour le traitement de la COVID longue l’a mise en arrêt de travail complet.
- Les symptômes de la COVID longue – CathyCathy dit que ses symptômes « contrôlent sa vie ».
- Reconnaître le début de la COVID longue – CathyCathy se souvient que même en travaillant à temps partiel, elle ne pouvait rien faire d’autre.